Le fruit de l’imagination a émergé sous le thème 2012 du domaine de Chaumont, « Jardins des délices, jardins des délires ». La conception du jardin, réalisée par Aurélie et ses camarades lors de ses études d’ingénieur paysagiste, fait écho au Fengshui (vent et eau). Au sud, des formes rectangulaires aux couleurs soutenues et contrastées symbolisent la terre et sont placées à l’entrée du jardin. Au nord, des formes circulaires aux tons plus doux caractérisent le divin qui est l’espace de destination, lieu du ravissement délirant et délicieux. Ici le fruit est envisagé tant dans une acception littérale par des formes et variétés végétales méconnues en Europe, plus communes en Asie, que dans l’évocation de l’imaginaire.
Le fruit de l’imagination a émergé sous le thème 2012 du domaine de Chaumont, « Jardins des délices, jardins des délires ». La conception du jardin, réalisée par Aurélie et ses camarades lors de ses études d’ingénieur paysagiste, fait écho au Fengshui (vent et eau). Au sud, des formes rectangulaires aux couleurs soutenues et contrastées symbolisent la terre et sont placées à l’entrée du jardin. Au nord, des formes circulaires aux tons plus doux caractérisent le divin qui est l’espace de destination, lieu du ravissement délirant et délicieux. Ici le fruit est envisagé tant dans une acception littérale par des formes et variétés végétales méconnues en Europe, plus communes en Asie, que dans l’évocation de l’imaginaire.
En juillet 2013, la voie douce de la Ciotat se dévoile aux riverains. L’ancienne voie ferrée a été transformée en voie réservée aux piétons et cyclistes. Le projet d’ampleur a été réalisé et suivi par Aurélie lorsqu’elle faisait partie du bureau d’études aixois Grontmij (devenu aujourd’hui Otéis).
En juillet 2013, la voie douce de la Ciotat se dévoile aux riverains. L’ancienne voie ferrée a été transformée en voie réservée aux piétons et cyclistes. Le projet d’ampleur a été réalisé et suivi par Aurélie lorsqu’elle faisait partie du bureau d’études aixois Grontmij (devenu aujourd’hui Otéis).
En 2012, Aurélie se penche sur la question délicate de la cohabitation entre les architectes et les paysagistes. Son mémoire fait l’objet d’une publication et devient une source d’inspiration pour certains articles de presse, comme celui lié aux différences de visions du jardin entre Jean Mus et Jean-Michel Wilmotte.
En 2012, Aurélie se penche sur la question délicate de la cohabitation entre les architectes et les paysagistes. Son mémoire fait l’objet d’une publication et devient une source d’inspiration pour certains articles de presse, comme celui lié aux différences de visions du jardin entre Jean Mus et Jean-Michel Wilmotte.
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